mercredi 18 novembre 2009

La maladie du temps


« Tonnerre de Brest, y fait frette » (Capitaine Haddock québécois)

Wow, les nuits sont un peu frisquettes n’est-ce pas? On se réveille légèrement gelé au petit matin si on laisse la fenêtre ouverte et déposer son petit pied menu sur le parquet demande un peu plus de courage. Les marchés boursiers étaient comme nous le mois dernier : ils gelaient mais ils se sont réchauffés cette semaine. Le TSX a fermé à 16,653 points aujourd’hui alors qu’il était à 11,285 points le 24 septembre dernier.

Dans l’ensemble, il n’y a pas de grande nouvelle excitante pour l’instant mais par contre l’économie démontre toujours une progression et non une régression : les investisseurs qui conservent le cap en déposant régulièrement profitent d’un rendement spectaculaire depuis le début de l’année.

N’attendez pas en février pour investir dans votre REER : profitez-en dès aujourd’hui. La procrastination n’a jamais bon goût.

Le vaccin de la peur

Depuis quelques semaines, nous entendons parler sans arrêt de la grippe A (h1n1). L’année dernière, c’était le monstre de la crise économique qui attaquait sournoisement les pauvres investisseurs et maintenant les journalistes ont trouvé un autre sujet de prédilection : l’effroyable grippe et ses nombreux décès. On change la face du Bonhomme 7 heures et on continue de cultiver la peur chez l’Homme.

Les opinions sont des plus divergentes : certains médecins nous annoncent presque la fin du monde, si on ne reçoit pas le vaccin rapidement, via une pandémie mondiale qui fera des ravages d’une telle ampleur que le spectre de la peste des siècles derniers refait tranquillement surface dans l’esprit des gens. Paradoxalement, d’autres médecins nous disent calmement de ne pas paniquer et que cette grippe se soignera de la même manière que l’influenza saisonnière. Comment s’y retrouver dans ce labyrinthe de contradiction?

La peste sous toutes ses formes a décimé des populations entières depuis l’Antiquité. Wikipedia décrit la pandémie comme étant une épidémie touchant une part exceptionnellement importante de la population et présente sur une large zone géographique [1]. Les conséquences d'une pandémie, lorsqu'elle ne peut être maîtrisée, peuvent être très importantes, comme cela a été le cas de la peste noire en Europe et en Asie où, en quelques années, elle a tué des dizaines de millions de personnes et a eu un impact fort sur la démographie, ou, plus récemment, avec l'infection par le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) qui touche sévèrement l'Afrique sub-saharienne.


Et le plus beau dans toute cette histoire, c’est qu’on nous explique dans tous les médias de la planète, en long et en large, comment se laver les mains. « On se lave bien les mains des deux côtés sans oublier les doigts avec du beau savon propre et si on fait cela à maintes reprises durant la journée, on diminue les risques de propagation. Sans oublier qu’il ne faut pas se mettre les doigts dans la bouche ». C’est incroyable de réaliser qu’on doit encore dire aux gens au 21e siècle que la propreté est de mise. Et parlant de maladie…


Assurance maladies graves

Yvon Deschamps disait dans un monologue, « mieux vaut être riche et en santé que pauvre et malade ». Si je vous demandais de me nommer quelle est la maladie du siècle, il est fort à parier que vous me répondiez le cancer dans plus de 90% des cas.

Effectivement, le cancer est une maladie difficilement contrôlable mais la médecine moderne a fait des miracles ces dernières années. Les statistiques démontrent au Canada qu’une femme sur 9 sera atteinte du cancer du sein et que le taux de survie est de 55%; qu’une personne sur 4 aura une maladie du cœur et que 82% des malades survivront une première crise cardiaque; qu’une personne sur 20 aura un AVC et que 75% des gens survivront. Ce sont des nouvelles fantastiques.

Ce qui l’est moins par contre, c’est de savoir que les coûts liés aux soins engendrés par la maladie et la convalescence ont augmenté de façon drastique. Qui se sent concerné lorsqu’un proche est atteint? C’est toute l’organisation familiale qui en souffre. Imaginons un instant que votre enfant développe soudainement un cancer alors qu’il n’était jamais malade auparavant et même qu’il était un grand sportif accompli : quel sera votre premier réflexe? Vous rencontrerez un spécialiste qui vous recommandera des traitements tels que la chimio et la radio le plus vite possible et probablement à raison de plusieurs visites par semaine.

J’ai une collègue qui s’est absentée une année complète car elle devait se rendre à l’hôpital sur une base presque journalière afin de combattre un cancer qui s’acharnait sur son garçon. Ce fut extrêmement difficile mais ça valait la peine car son fils est présentement en rémission. Elle évalue les coûts de cette aventure à plus de 100,000$ : perte de revenu pour elle, les frais du stationnement et de la cafétéria; les médicaments non couverts par son assurance ni par le gouvernement, les visites d’une infirmière spécialisée et j’en passe.

La situation serait semblable pour toute autre maladie grave. Que ce soit à la suite d’une crise cardiaque ou d’un AVC, tout bascule si on n’a pas les moyens financiers de se faire soigner adéquatement et de s'offrir une convalescence décente. Surtout si on est un travailleur autonome ou un entrepreneur : c’est le fruit de plusieurs années de labeur qui disparaitra à tout jamais si on n’a pas prévu de plan de match. Et malheureusement, personne ne prévoit de plan de match. SAUF LES ASSUREURS (trompettes s’il-vous-plait : merci).

Effectivement, il existe une assurance qui vous protègera en cas de maladies graves. Un montant forfaitaire libre d’impôt vous est versé lorsqu’un diagnostic est posé afin de vous permettre de vous consacrer à 100% à votre rétablissement. Face à la maladie, vous n’avez qu’un seul allié : le temps. Mais avez-vous les moyens de vous offrir du temps?

Le proverbe dit : « le temps, c’est de l’argent ». Moi j’ajouterais : « c’est l’argent du temps ». Sans argent et face au temps, c’est comme se battre contre le vent. On ne gagne jamais contre un ennemi invisible. Je vous invite à cliquer sur le lien dans la colonne de gauche sous la rubrique Un cancer, non merci : vous y verrez un excellent reportage de JE et ensuite, cliquez sur le lien http://www.inalco.com/particuliers/assurance-vie/maladie/maladie.jsp et vous aurez des informations additionnelles concernant l’assurance maladies graves.

Ecoflextra

Il reste un mois afin de profiter du boni de 5% dans le compte d’épargne Ecoflextra pour l’année 2009. Je vous rappelle que ce programme s’adresse principalement aux 45 ans et plus qui désirent investir tout en profitant d’un parachute additionnel. Une garantie de 5%, c’est vraiment intéressant n’est-ce pas?

Je vous souhaite de faire des bons investissements et de profiter du temps. Ne le dépensez pas inutilement sinon il deviendra un sacré garnement avec un sale tempérament.